mardi 18 août 2015

Qu’est-ce que le « Mobilegeddon » et comment minimiser son impact SEO ?

Depuis quelques semaines, la presse s’intéresse tout particulièrement à Google.

Après plusieurs plaintes déposées auprès de la Commission européenne pour abus de position dominante sur les autres moteurs de recherche, c’est un sujet différent qui a fait couler beaucoup d’encre depuis le 21 avril dans le milieu des professionnels du marketing.

Mardi dernier, Google a lancé la décision annoncée deux mois plus tôt : un nouvel algorithme a été mis en place pour favoriser les sites « mobiles-friendly » dans les résultats des pages du moteur de recherche le plus utilisé dans le monde.

Cette décision pourrait bien avoir un impact très important, comme nous le verrons plus bas, dans la stratégie digitale SEO de certains sites et c’est pourquoi nous vous en parlons aujourd’hui dans notre blog marketing.

[ Pour en savoir plus sur le sujet ] Lisez cet article de MARKENTIVE


lundi 17 août 2015

Le rôle des salariés d’une entreprise dans la stratégie social media

[ Social Media  ] Lorsqu’une entreprise s’expose sur les réseaux sociaux, elle connaît les risques en terme d’e-réputation mais, bien souvent, elle s’imagine que les risques de bad buzz ou de mauvaise image viennent de l’extérieur. Pourtant, les clients ne sont pas les seuls à s’exprimer sur les réseaux sociaux, blogs ou forums, les salariés aussi ! Alors pourquoi ne pas se servir des envies d’expression de vos collaborateurs, pour servir votre image ?

Lire plus sur Markentive : c'est par ici

dimanche 16 août 2015

Les 3 phases de rentabilité du marketing digital.


Quel ROI espérer d'une stratégie de marketing digital ?

À partir de quand constate-t-on des résultats ?

Une stratégie webmarketing peut-elle s'essouffler ?

Autant de questions légitimes que se posent directeurs généraux et marketing des entreprises. Environnement concurrentiel et ancienneté : le point sur les facteurs impactant.

[ Lire plus sur Les Echos.fr] : C'est par ici

mardi 11 août 2015

L’Apple Watch, gadget inutile ou filtre à portable ?

Avec 2,3 millions d'unités précommandées de sa montre, selon les dernières estimations, Apple veut dominer le marché des montres et des bracelets connectés. Peut-elle directement concurrencer les montres classiques, puisque telle est l'ambition affichée de l’entreprise ? En attendant le test, tour d'horizon des points sur lesquels le produit d'Apple devra convaincre les consommateurs.

Séduire les amateurs de montre…

Apple propose une montre qui rompt radicalement avec l’horlogerie traditionnelle. Si la batterie semble de bonne facture pour un « smartwatch », de l’avis des premiers tests, il faudra imposer un rechargement quotidien à des habitués de quartz longue durée ou de mécanismes automatiques « éternels ». Faire avaler cette pilule, malgré un chargeur magnétique à induction, censé être plus pratique, est une première difficulté. Mais ce n’est pas la seule.

L’entreprise se positionne en effet sur un secteur « luxe », avec un modèle « Edition » de 11 000 à 18 000 euros, et des ambassadeurs glamours tels que Katy Perry ou Beyoncé. Là encore, le défi est de taille. Les amateurs de montres traditionnelles vous le diront : ils achètent une histoire, des mécanismes artisanaux façonnés à la main et un objet qui traverse les décennies sans encombre.

Face à cela, Apple propose un produit usiné, sans âme réelle, dont seules les finitions du métal et du verre changent entre le modèle d’entrée et le très haut-de-gamme. Et l’objet sera obsolète d’ici une poignée d’années, lorsque l’Apple Watch 2, 3 ou 4 sera commercialisée comme étant la nouvelle sensation.

... comme ceux qui n’en ont pas

D’une certaine manière, le téléphone portable a considérablement affaibli l’intérêt d’une montre grand public : nombreux sont ceux qui s’en passent et consultent l’heure directement sur leur appareil. Comment leur faire acheter une montre ? Qu’apporte l’Apple Watch de plus qu’un iPhone ?

La réponse est simple : pas grand-chose si ce n’est la possibilité de laisser le mobile… dans la poche. C’est le cœur même de l’idée qui a germé chez Apple, selon l’enquête du magazine Wired :

«  L'équipe d'Apple a mis le doigt sur la raison d'être d'une montre. Cela part d'un constat : nos mobiles sont en train de ruiner nos vies. Comme nous autres, [les responsables d'Apple] sont soumis à la tyrannie de la vibration, de la consultation permanente du smartphone, des longues listes de notifications qui nous assaillent. »

L’idée est donc de créer un produit peu intrusif, qui se consulte en un coup d’œil, pour se libérer de l’addiction à son smartphone.

Proposer une nouvelle technologie qui s’attache carrément à son propre corps pour se libérer de la précédente peut sembler gonflé. Mais, selon de premiers témoignages de journalistes ayant pu l’utiliser, la montre peut en effet servir de premier filtre rapide aux dizaines de notifications quotidiennes : on trie ses mails ; accepte une invitation du calendrier ; répond rapidement à un texto... Le smartphone ne se saisit que pour des tâches plus importantes. Pour autant, le réglage des notifications devra être très fin pour éviter que la montre ne tapote votre poignet toutes les dix secondes pour chaque micro-événement de votre vie numérique.

A quoi sert-elle exactement ?

Toutes ces difficultés pourront être surmontées si la montre prouve son utilité au quotidien. Mais que fera-t-elle exactement ? Un peu tout et rien à la fois : communication (téléphone, messages), productivité (mail, agenda, liste de tâches), bracelet sportif… Le fait que la montre d’Apple n’a pas vraiment de grande fonctionnalité-phare qui justifierait à elle seule son achat a, aussi, été amplement commenté.

Certains y verront donc un gadget inutile, d’autres un formidable « bac à sable » pour les développeurs tiers d’applications, qui offriront à chaque consommateur son bonheur. Après tout, le premier iPhone, en 2007, n’était qu’un simple écran dont l’utilité était contestée par beaucoup : « Est-ce qu’il téléphone ? », ironisaient alors de nombreux sceptiques. Huit ans plus tard, l’écosystème d’applications a fait de l’iPhone, et du smartphone en général, un objet courant du quotidien.

Le consommateur intéressé mais raisonnable pourra donc laisser les « fans » essuyer les plâtres de la première génération. Les technophiles qui souhaitent être parmi les premiers à expérimenter l'arrivée d'Apple dans le domaine des « wearables» – lunettes, montres ou casques qui se portent à même le corps – se reporteront plutôt vers l'entrée de gamme « Sport ». Car, malgré des écarts de prix très importants entre les différents modèles, l'intérieur du capot, lui, reste strictement identique.

vendredi 13 mars 2015

Pourquoi Google place Android au coeur de sa stratégie ?

Android sur votre smartphone et tablette. Android sur votre poignet, dans votre voiture, sur votre télévision, dans votre maison... Android partout et tout le temps. Voilà la nouvelle stratégie de Google. Plus que jamais, le géant du web compte sur son système d'exploitation (OS) mobile pour étendre son emprise.

Pour s'en convaincre, il suffit d'analyser la keynote d'ouverture de Google I/O, la grande conférence annuelle des développeurs qui s'est tenue la semaine dernière à San Francisco. Plus de 2h30 quasiment consacrées intégralement à Android. Pas un mot sur son moteur de recherche, sur son navigateur Chrome, sur ses cartes Maps, sur son réseau social Google Plus...

CAPITALISER SUR LA MARQUE

A la place, Google a dévoilé Android Wear, une version adaptée pour les “wearables”, ces gadgets high-tech que l’on porte sur soi. Les deux premières montres équipées sortiront en juillet. La société a aussi présenté Android Auto, en association avec une quarantaine de constructeurs automobiles. Dernière annonce: Android TV, une interface permettant d’accéder à des contenus en ligne depuis sa télévision.
Trois nouveautés, trois déclinaisons de l'OS mobile de Google, La société de Mountain View souhaite clairement capitaliser sur sa marque. Et pour cause: lancé en 2008, Android rencontre un succès fulgurant. Gratuit et ouvert, il équipe aujourd’hui 80% des smartphones vendus dans le monde et 60% des tablettes. Ce sont ainsi plus d'un milliard de personnes qui utilisent un terminal sous Android.
En utilisant cette marque, Google espère ainsi convaincre le grand public de l'intérêt de ces nouveaux objets connectés. Cela est d'autant plus important que la concurrence avec Apple devrait y être aussi féroce qu'elle ne l'est aujourd'hui sur le marché des mobiles. Autre intérêt: rassurer les développeurs, dont le soutien est indispensable pour proposer toujours plus d'applications aux utilisateurs.

DOMINER l'INTERNET DES OBJETS

Avec Android, le moteur de recherche veut mettre toutes les chances de son côté pour dominer la prochaine vague des objets connectés, mais aussi les suivantes. Le potentiel de cet "Internet des objets" fait saliver les géants de la Silicon Valley. Plusieurs cabinets d'études, comme Gartner ou IDC, y voient un marché de plusieurs milliards de dollars par an. Chacun veut sa part du gâteau.
Pour Google, ces objets connectés signifient encore plus de données sur ses utilisateurs. Et donc des publicités mieux ciblées et surtout beaucoup plus pertinentes. Plus de lait dans votre réfrigérateur ? Un supermarché situé sur votre trajet quotidien vous envoie une promotion. Dans un récent document adressé aux autorités boursières américaines, la société indique par ailleurs qu'elle pourrait diffuser de la publicité sur "les réfrigérateurs, les tableaux de bord, les thermostats, les lunettes et les montres".
En début d'année, Google n'a ainsi pas hésité à dépenser plus de 3 milliards de dollars pour acheter Nest, start-up connue pour ses thermostats et ses détecteurs de fumée intelligents. Restées indépendantes, ses équipes travaillent déjà sur la deuxième étape de la maison connectée. Leurs prochains produits devraient aussi embarquer une version adaptée d'Android. Ils serviront alors de fer-de-lance à Google afin de convaincre les autres fabricants à opter pour le même OS.

"EMPRISONNER" LES UTILISATEURS

En démultipliant Android, Google souhaite aussi développer un écosystème complet et multi-plateformes. C'est particulièrement important pour obtenir le soutien des développeurs, en leur permettant de créer facilement des applications compatibles sur l'ensemble des terminaux. Pour les utilisateurs, cela est aussi synonyme de facilité, notamment parce que tous ces objets seront reliés avec leur smartphone.
Tous les appareils sous Android interagiront ensemble, avec les mêmes applications et les mêmes interfaces. Et ils seront d'autant plus fonctionnels qu'ils seront connectés les uns aux autres. Cette stratégie est également employée par Apple et, dans un moindre degré, par Microsoft. La contre-partie: les utilisateurs risquent fort d'être "emprisonnés" dans cet écosystème.
“Si vous possédez un smartphone Android, il sera alors logique d’acheter une montre, une télé ou une voiture aussi équipée d’Android”, explique Brian Blau, analyste au sein de Gartner. Parfois, vous n'aurez même pas le choix. A l'heure actuelle, Android Wear et Android Auto ne sont pas compatibles avec les systèmes concurrents iOS et Windows Phone.

REGAGNER LE CONTRÔLE D'ANDROID

Problème pour Google: Android est un système ouvert qui peut être modifié par les fabricants de smartphones. Ces derniers ne s'en privent pas, à l'image de Samsung qui ajoute une surcouche logicielle baptisée TouchWiz. C'est pour cela que les appareils Android des différents marques n'offrent pas la même expérience. Pour Google, cette situation est devenue dérangeante. Surtout dans l'optique d'imposer un écosystème unifié.
Le groupe de Mountain View veut donc regagner le contrôle de son OS. Première étape: le programme Android One, dévoilé la semaine dernière lors de Google I/O. Celui est destiné aux marchés émergents. Il permet aux constructeurs de bénéficier de solutions clé en main, aussi bien sur le plan matériel que logiciel, pour fabriquer des appareils Android. Cela signifie des versions non modifiées du système, directement mises à jour par Google.
La prochaine étape sera beaucoup plus stratégique: faire la même chose avec les principaux fabricants, plus particulièrement avec le sud-coréen Samsung, numéro un mondial du marché. C'est le programme Android Silver, dont la presse américaine se fait régulièrement l'écho. Google serait prêt à rémunérer ses partenaires pour qu'ils ne touchent pas Android - comme cela leur sera imposé pour les nouvelles déclinaisons de l'OS. Un petit prix à payer.


vendredi 20 février 2015

Le responsable e-Business

Le responsable business en ligne, un directeur des ventes interactives…

Le responsable e-business concilie le monde interactif et le monde des affaires. Son objectif principal : Les ventes.
  • Ventes directes : générées directement en ligne
  • Ventes Indirectes : via la génération de contacts, de leads
On l’assimile souvent au pilotage de la vente en ligne mais il a beaucoup d’affaires en dehors d’internet. Les informations qui le passionnent sont le suivi des KPIs des sites dont il a la charge. Il rentre parfois dans le processus de création de projets web mais s’inscrit plus dans la vie interactive des solutions mise en place et le pilotage de leurs évolutions. C’est souvent lui qui surveille la promotion directe comme les achats de mots clefs, l’affiliation, les campagnes bannières et etc.

Le responsable e-business va devoir :
  • Développer le Chiffre d’Affaire généré grâce à l’interactif
  • Fixer ou tenir les objectifs de vente
  • Proposer et mettre en place de nouvelles actions de développement business

Les livrables du responsable e-business :

du Chiffre d’Affaire rien que du Chiffre d’Affaire
  • des tableaux de bord
  • le plan stratégique annuel ainsi que la stratégie à mettre en œuvre

Un responsable e-business est un directeur commercial (sans équipe commerciale) utilisant les techniques du marketing online et offline pour accroître les ventes, ou ses pistes de ventes, générées en ligne.

Selon la notoriété de la marque et le caractère de l’entreprise (pure player et grandes structures type Priceministrer, Fnac ou plus modestement les marques type Armand Thiery, Celio, Jules, etc.) le budget et l’envergure de l’équipe dont il dispose sont sans commune mesure. Chez les grands acteurs, l’équipe peut atteindre une quarantaine de personnes et plus, alors qu’elle se situe plutôt entre 3 et 10 personnes pour les marques et les sites plus modestes, ou dont la cible est plus restreinte.

Le responsable e-business s’entoure de compétences

Pour satisfaire sa mission, le responsable e-business dispose de toute une artillerie de techniques liées au commerce et au e-marketing. Il encadre des compétences très diverses (designers, développeurs, référenceurs, rédacteurs) dont les propositions et les attentes diffèrent souvent. Il arbitre donc en permanence pour avancer.

Ainsi, en collaboration avec son webmaster, son responsable promotion, son responsable e-marketing et son web-analyst, il élabore les actions à mener et définit l’effort humain et financier que doit consentir l’entreprise pour leur réalisation.

S’aidant de tableaux de bord qu’il a conçus, il vérifie de façon quotidienne ou hebdomadaire ses retours sur investissement, la performance des promotions et des publicités en cours et la capacité de conversion du tunnel de commande et de produits.

« C’est un poste où il est à la fois surveillé par la direction pour les engagements pris, attendu par son équipe, de qui il exige souvent des concessions, et observé par d’autres services internes auprès desquels il compose souvent (DSI, logistique, achats…) »

Il dispose d’excellentes qualités managériales

Autre levier de croissance des ventes d’un site : le référencement et le développement d’espaces publicitaires sur des sites tiers. Dans ce cas le responsable e-business s’appuie sur des spécialistes du référencement naturel et payant (SEO et SEM) et sur des compétences en achat d’espaces.

Au final, toute la difficulté de ce métier est de mixer tous ces leviers – compétences internes, agences partenaires, prestataires de solutions – et de prioriser les actions à mener en fonction du budget et du temps imparti.

Entre 35 et 45 ans, issu généralement du sérail du marketing ou du commerce, le responsable e-business dispose d'une expertise de plusieurs années sur les sites de commerce en ligne.  En résumé, il doit maîtriser la vente et être capable de manager des compétences très hétéroclites, être curieux des technologies innovantes du web, veiller à l'activité concurrentielle et savoir identifier et suivre ses propres indicateurs clés de performance (KPI), qui lui apporteront la matière pour prendre les décisions les plus pertinentes dans sa course vers l’amélioration des ventes.

Salaire

Entre 55 et 65 k€ brut, variable compris pour un premier poste. Entre 50 ou 90 k€ de salaire fixe à ajouter au salaire variable et aux primes, pour un senior.

jeudi 15 janvier 2015

Les plate-formes SaaS, une révolution pour le business des entreprises

Crédit : Fotolia
En mettant de nouveaux outils technologiques (logiciels SaaS) à la disposition de leurs clients, les entreprises transforment leur façon d'appréhender le business. Tous les acteurs de la chaîne jusqu'au client final en sortent gagnant.
La question qui se pose aujourd'hui pour les entreprises n'est plus de savoir s'il convient de mettre en place des outils technologiques pour augmenter leur productivité mais plutôt quelles solutions proposer afin de fluidifier les relations avec leur écosystème en général et avec leurs clients en particulier.

Ainsi, comme toutes les grandes organisations, Groupama a depuis longtemps informatisé ses processus et dispose d'une forte présence sur Internet à travers les différents sites du groupe. Mais jusqu'à récemment, notre approche des technologies restait assez classique, le Web étant surtout perçu comme la continuité de notre activité commerciale. Notre perception et notre action ont profondément évolué à la suite de notre rapprochement avec l'éditeur de logiciel de gestion Cegid dans le capital duquel Groupama a pris une participation financière de 27%. Cette opération s'est faite en 2007 et après un temps pour organiser les équipes et les offres, c'est aujourd'hui que l'on peut en saisir vraiment les bénéfices. En effet, en s'appuyant sur l'expertise technologique de Cegid, nous avons créé des portails Internet destinés à trois catégories de professionnels qui sont pour Groupama de véritables relais de croissance : les chefs d'entreprises des TPE-PME ; les experts-comptables et les élus des collectivités territoriales.

Faire du portail Web un lieu d'échange entre pairs L'idée principale de ces portails est d'en faire des lieux d'échange entre pairs. Il s'agit de créer un écosystème où les internautes vont trouver des réponses à leurs questions et vont être informés de tout ce qui concerne leur environnement fiscal, réglementaire ou financier. Pour cela, les communautés s'appuient également sur l'expertise apportée par des acteurs clés de ces secteurs comme par exemple les chambres de commerce et d'industrie. Les portails permettent également d'avoir accès à des solutions logicielles qui vont accompagner les professionnels dans leur gestion. Ces outils sont accessibles en environnement SaaS (Software as A Service) afin qu'ils soient disponibles tout le temps (Any Time), partout (Any Where) et sur n'importe quel terminal (Any Device).

Quel enseignement devons-nous tirer de la mise en place de ces outils numériques et en quoi pouvons-nous dire qu'ils ont transformé l'entreprise ?

D'abord avec Cegid, Groupama est rentré dans une nouvelle dimension car le Saas est une nouvelle façon d'appréhender le business. C'est en effet la première fois que nous mettons des outils à la disposition des clients et que nous facturons ces outils. Mais c'est aussi et surtout une nouvelle dimension que nous apportons à nos clients et notamment aux experts-comptables. Très souvent, ces derniers sont les seuls interlocuteurs financiers des TPE et même des PME. Or face à la concurrence, ils sont obligés d'enrichir leur gamme de services pour se distinguer. Leur activité va devoir être de plus en plus créatrice de valeur. Et c'est ce que nous leur offrons à travers le portail : avoir la possibilité de donner de la valeur ajoutée à leur activité et ainsi augmenter leurs chiffres d'affaires auprès de leurs clients habituels. Mais également partir à la conquête de nouvelles opportunités en ayant le maximum d'atouts en main. C'est ainsi que la transformation numérique que nous avons engagée permet de valoriser tout l'écosystème de l'entreprise.